Le constat est terrifiant : jour après jour, Beyrouth n’est plus Beyrouth. Elle a perdu son cachet, ses habitants originels, ses maisons traditionnelles, ses petits métiers, ses artisans mais surtout, son Histoire. Avec la dernière destruction en date dans le quartier de Furn el-Hayek, Pascale Ingea, présidente de l’Association pour la Protection du Patrimoine Libanais s’indigne et lance un appel aux consciences au gouvernement libanais et aux parlementaires, qui passent sous silence la mise en place d’une loi pour la protection des anciennes bâtisses et du patrimoine architectural traditionnel au Liban.
Article sur : 14 mai 2012, Libnanews
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